l'equipe de la p'tite puce
Emilie, chef de bord, vous accueille auprès de son équipage enthousiaste !
Venez à la rencontre d'Elise, pour vos contrats, le commercial et la caisse et d'Eric dit "Ricco" dans les rayons.

LE RÊVE D'ENFANCE D'ÉMILIE
"Quand je serai grande je serai escoubilleuse * !" 

Je suis, depuis toujours, baignée dans cet univers de brocante et d'objets anciens, d'occasion et recyclés.
Mon père était antiquaire et chineur de génie dans la région de Montpellier où j'ai grandi très heureuse en pleine campagne au cœur des Cévennes, entourée d'occasions, d'amour, de deux sœurs et d'un frère. Passée ensuite par le Jura puis par Nice, où je n'ai jamais cessé de chiner et enfin par Lyon, j'ai toujours travaillé dans la restauration et dans les vins. J'y ai eu plusieurs restaurants dans lesquels j'ai souvent travaillé avec mon frère. J'ai cependant toujours continué à vendre et acheter dans les dépôts-ventes, les vide greniers du dimanche et sur le web. J'ai même réussi à convaincre mon père (né pendant la Seconde Guerre) de se mettre à la vente en ligne, ce n'était pourtant pas gagné! J'ai adoré ma relation de brocante (mais pas que) avec lui. 

Ma mère était professeur de lettres, pragmatique et sensible, elle appréciait l'occasion, (sauf quand un engin ne marchait pas comme prévu...), reconnaissait le talent indéniable de mon père, appréciait les beaux objets qui nous entouraient et cuisinait, dans les cocottes chinées, de merveilleux plats pour sa famille nombreuse.
Je repense souvent à la question qu'on me posait enfant: "que veux tu faire comme métier plus tard?", et à laquelle je répondais avec certitude et enthousiasme: "quand je serai grande je serai escoubilleuse*! "

*escoubilleuse : mot que j'ai inventé, enfant, pour qualifier un métier autour des objets d'occasion, car les «escoubilles» c'est la déchetterie en patois languedocien ! (on y trouvait des trésors car c'était plus ou moins libre d'accès... une autre époque, définitivement.)
Une conviction, une transmission
À mon rêve d'enfance, et à l'éducation que nous avons reçue, a naturellement succédé le désir profond de maintenir une logique dans ma manière de consommer, envers et contre tous à l'époque du "tout jetable" et de l'obsolescence programmée.
Les puces chez nous c'est une histoire de famille! Un sacro-saint rendez vous aux aurores que nous ne manquions pour rien au monde, et la génération montante nous a emboîté le pas. 
Nous tentons de réutiliser, recycler et réinventer les objets, au lieu de les jeter sans scrupules. J'ai donc à mon tour transmis cette passion dans l'éducation offerte à mes enfants, qui sont tous adeptes de ce mode de pensée et de consommation plus éco-logique. Et j'ai poussé plus loin en ouvrant mon magasin, pour montrer l'exemple et encourager ceux qui ont envie de l'être.
et le nom de "La P'tite Puce" ?
Le choix du nom d'enseigne
Au delà de sa symbolique de puce-brocante, « ma p'tite puce » était avant tout le petit-nom que, toute sa vie, mon père m'a donné. Il n'est plus là aujourd'hui et très naturellement c'est en son hommage que La P'tite Puce a été ainsi baptisée.
La société derrière cette enseigne est : "à l'inusable" qui était le nom du premier magasin d'antiquités de mon père et de mon oncle dans les années 60. Toujours en hommage, évidemment...
Merci mon Papa.

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